jeudi 8 décembre 2022
Rocky Balboa, l'homme (ordinaire) de la décence commune
jeudi 9 septembre 2021
J-P Belmondo, tournage en Roumanie, en 1970, à Brasov et notamment à Tarlungeni, commune proche
L'article confirme ce que me racontait il y a environ 10 ans un Roumain (Hongrois de Roumanie). Jean-Paul Belmondo avait tourné à Brasov et ses environs, en 1970, sans doute dans la commune de Tarlungeni (voir 1 post précédent) qui comporte 4 villages. Cet événement avait marqué la population locale. Le film était "Les mariés de l'an II".
Le même homme m'avait parlé de Jean Marais venu tourner à la même époque sur les mêmes lieux, précisément trois ans avant Belmondo pour le film "Sept hommes et une garce". Mais, le film, gros succès commercial en Roumanie mais pas en France, semble avoir été tourné à Bucarest et son espace proche.
dimanche 13 décembre 2020
"Frustré" (film) : "Tout est permis, rien n'est possible"
Sans doute l'un des meilleurs films français de ces 20 dernières années (en même temps ce n'est pas compliqué en dehors de qqs raretés : 36 quai..., La French, Le daim...). En soi, le film est une horreur à tous les niveaux (en soi ce n'est pas une critique) mais alors la dimension politique à contre-courant... C'est un signal envoyé, un constat, une volonté de révéler ce qu'il y a au bout du chemin du fameux "tout est permis mais rien n'est possible" de Michel Clouscard. Dans la veine du Houellebecq "Extension du domaine de la lutte".
C'est la fin de queue des désillusions liées à la pseudo-libération des moeurs 68arde, un coup de chevrotine dans ce monstre schizophrène, alliance du féminisme puritain castrateur et de la pornographie de masse. Même le vide horrifique des relations sociales en système libéral (après l'effondrement des corps intermédiares, du PCF et de la CGT) est impeccablement décrit : la virago chef de service, les QI d'huîtres enfants de Meirieu, de la Star academy et de Koh Lanta qui composent le personnel, les humiliations continuelles pour un salaire de merde...
Ce film évidemment incompris (par les petits-bourgeois, voir certaines critiques qui en font un film/portrait d'un vulgaire socio-pyschopathe) est un film politique qui dit que le libéralisme libertaire une fois qu'il n'arrive plus à séduire, à maintenir toutes les illusions qui font Ssystème depuis 50 ans ne peut mener qu'à des comportements anarcho-fascisants, à la folie ou au suicide. 7 ans après sa non sortie en salle, il est encore plus que jamais d'actualité...C'est pour cela que le discours néo-féministe (l"homme prédateur", metoo, balancetonporc) est plus que jamais agressif. Il n'est plus possible de cacher la réalité de ce système, les escroqueries du libéralisme culturel/des moeurs et la révolte qui pointe...Alors intervient l'Inquisition...
dimanche 10 avril 2016
"Trois mètres au-dessus du ciel", long métrage en dessous de tout : une petite page d'histoire de la civilisation du néo-capitalisme
Le petit-bourgeois rebelle et sa grosse...bourge |
lundi 30 novembre 2015
Saraya - B.O. du film Shocker (1989)
Un article de 1989 sur le groupe et la chanteuse S. Saraya
mardi 8 septembre 2015
Le voyage inhabituel de Séraphim(a) (film d'animation russe)
Il est inimaginable, par ailleurs, qu'en France un tel film (visible en ligne mais je ne donnerai pas l'adresse...), d'une part sorte en salle et d'autre part puisse recevoir le soutien financier d'un ministère de la culture.
dimanche 16 novembre 2014
Jason et les argonautes (1963) versus 300 (2007)
(1) Sparte=Etats-Unis, Perse=Iran. On avait déjà relevé cette utilisation du cinéma (dans un film qui, d'ailleurs, traite, même si très différemment, le même sujet) à des fins de propagande politique (période de Guerre froide) dans The 300 Spartans-La bataille des thermopyles sorti en 1962, dont s'inpire d'ailleurs la BD "300" qui donnera plus tard naissance au fil éponyme.