Souvent, les victimes de la violence institutionnelle gardent le silence. Par peur pour leur carrière, par crainte de représailles, ou simplement pour éviter les ennuis, elles choisissent de se taire. Cette lâcheté n’est pas seulement individuelle : elle est inscrite dans le fonctionnement même du système. Elle est proverbiale, presque légendaire dans le milieu universitaire, où dénoncer les dysfonctionnements revient à se tirer une balle dans le pied.
Ce mécanisme d’autocensure entretient un climat toxique. En évitant la confrontation, chacun se protège à court terme, mais contribue à pérenniser des pratiques injustes, parfois destructrices. L’université, pourtant censée être un lieu de savoir et d’émancipation, devient un espace dominé par la peur, où la lâcheté collective alimente la violence institutionnelle. Ce mécanisme d’autocensure entretient un climat toxique.
En évitant la confrontation, chacun se protège à court terme, mais contribue à pérenniser des pratiques injustes, parfois destructrices.
L’université, pourtant censée être un lieu de savoir et d’émancipation, devient un espace dominé par la peur, où la lâcheté collective alimente la violence institutionnelle. Dans certains cercles universitaires, la logique est moins celle d’une institution républicaine que d’un clan, d'une tribu ou de tribus... Une véritable mafia, fondée sur la consanguinité idéologique, des réseaux fermés et la conjuration des médiocres. Ici, l’enjeu n’est pas la qualité des travaux mais la loyauté, le silence et la complicité. Ces réseaux protègent leurs membres, maintiennent les carrières par des renvois d’ascenseur et éliminent les voix discordantes.
C’est dans ce contexte que se jouent les destins : les parcours se font ou se défont, non selon le mérite, mais selon l’appartenance à ces clans fermés, des tribus, des meutes et malheur à celui qui n'en porte pas l'odeur pour paraphraser Maffesoli.
Une soutenance de thèse, moment clé du parcours universitaire, peut devenir un théâtre où s’exercent ces logiques.
Sous des apparences feutrées, se cachent des décisions implicites, des silences organisés, des blocages discrets.
Ce n’est ni un fait isolé ni une exception : c’est un symptôme d’un système verrouillé.
Dans la lignée des constats de François Garçon (enfin ici ce sera une charge façon heavy metal mais LOYALE), ce témoignage dévoilera une facette sombre de l’université : un lieu où le vernis académique masque une mafia intellectuelle, où consanguinité idéologique et conjuration des médiocres étouffent le mérite et la liberté. Avec en guest star "Béatrice Migration".
J'en ferai sûrement plusieurs articles thématiques qui s'articuleront entre eux avec des mises en perspective (prise de recul pour aller au-delà du cas précis et montée en généralité), exemple :
1) à quoi sert un directeur de thèse ? faut-il l'écouter ? est-il vraiment à sa place ? est-il, en moyenne, un gros cuck ?
2) la ménopause aide-t-elle les demi-moches directrices de recherche et de gauche à être de cruelles salopes en plus d'être odieuses ?
3) Pourquoi les chercheurs en sciences sociales détestent-ils les faits, et finalement le réel rationnel ? (là c'est une vraie question...)
4) Pourquoi les universitaires lisent-ils Foucault comme on sniffe du poppers : pour se relâcher l’esprit avant de se faire enculer par leur propre vide ?
Au passage, la beauté de Foucault, c’est qu’il ne demande pas d’enquête, pas de chiffres, pas d’expérience, juste un peu de lexique. Tu peux passer vingt ans à théoriser l’hôpital comme lieu de pouvoir, sans jamais avoir vu un malade autrement qu’en photo noir et blanc.
5) Pourquoi certaines étudiantes baisent tous les profs sauf leur directeur de thèse, ce pauvre con trop soumis qui regarde ça en mode spectateur triste, pendant qu’elles signent toutes leur embauche en tant que MCF avec un sourire en coin ?
6) Est-ce que les soutenances ne sont qu’un spectacle pour masquer les vraies combines sexuelles qui décident des postes ?
7) Pourquoi le vrai pouvoir au CNU repose-t-il autant sur la capacité à materner ses chattes, à jouer le rôle du cuck au bon moment, et à faire rentrer tous les parasites du système qui respectent docilement le dogme hypocrite de la fausse critique, pendant que la science devient un simple prétexte cachant une hiérarchie de bites et de salaires ?
8) Est-ce que le CNU est la seule mafia où la carte de membre se gagne au lit ou à la délation ?
Non je déconne... ah ça t'a fait marrer p'tit cochon, surtout les deux dernières ? T'es ignoble... et c'est scandaleux tu as raison, lol... mais tu as déjà une petite idée du ton (évidemment que ça s'écrit comme ça Du***, lol) que ça prendra , si tu as fait l'effort de lire qqs pages de ce blogue...
Ce que je raconterai est vrai. J’enroberai, je flouterai, mais ceux qui savent reconnaîtront les ombres. Je prendrai le temps. Pas sûr que l'été suffise...