vendredi 18 octobre 2019
Père Jean Boboc : La Science et le Christianisme Orthodoxe
mercredi 17 avril 2019
Terreur de l'histoire - L'abomination de la désolation, 15 avril 2019 - Paris
L'événement que ceux qui observent les symboles donnés et les
comprennent attendaient avec angoisse...Quelque chose se montre à
nous...
Un événement tragique qui ne prend tout son sens que dans le cadre d'une histoire cosmique... #terreur_de_l_histoire
Bien sûr que les gens veulent donner une explication supérieure à cet événement qui touche un lieu spirituel central, un point d'énergie tellurique majeur, un centre sacro-cosmique...Jamais les récits faisant intervenir la négligence ou cette étrange notion de hasard ne seront acceptés hormis chez les irrécupérables dépossédés de toute possibilité de compréhension du symbolisme religieux , et dans les cas les plus graves (en dernière analyse) voués au néant par haine de Dieu et donc d'eux-mêmes. Même les curés larmoyants qui défilent dans les médias sont incapables de (n'osent plus...) donner quelque explication métahistorique à cette expérience.
Ce refus de l'histoire dans sa dimension matérialiste (si on admet que celle-ci n'est qu'un lent processus de désacralisation) est avant tout le signe que l'homme religieux (archaïque) n'a jamais complétement disparu. C'est heureux.
Le sacré (même enfoui) est constitutif de l'homme, il est logé au centre de sa conscience et n'est pas un accident dans l'histoire de l'homme...
Un événement tragique qui ne prend tout son sens que dans le cadre d'une histoire cosmique... #terreur_de_l_histoire
Bien sûr que les gens veulent donner une explication supérieure à cet événement qui touche un lieu spirituel central, un point d'énergie tellurique majeur, un centre sacro-cosmique...Jamais les récits faisant intervenir la négligence ou cette étrange notion de hasard ne seront acceptés hormis chez les irrécupérables dépossédés de toute possibilité de compréhension du symbolisme religieux , et dans les cas les plus graves (en dernière analyse) voués au néant par haine de Dieu et donc d'eux-mêmes. Même les curés larmoyants qui défilent dans les médias sont incapables de (n'osent plus...) donner quelque explication métahistorique à cette expérience.
Ce refus de l'histoire dans sa dimension matérialiste (si on admet que celle-ci n'est qu'un lent processus de désacralisation) est avant tout le signe que l'homme religieux (archaïque) n'a jamais complétement disparu. C'est heureux.
Le sacré (même enfoui) est constitutif de l'homme, il est logé au centre de sa conscience et n'est pas un accident dans l'histoire de l'homme...
"Et le temple fut rempli de fumée, à cause de la gloire de Dieu et de sa
puissance; et personne ne pouvait entrer dans le temple, jusqu'à ce que
les sept fléaux des sept anges fussent accomplis.
Et j'entendis une voix forte qui venait du temple, et qui disait aux sept anges : Allez, et versez sur la terre les sept coupes de la colère de Dieu."
Apocalypse de Jean
Et j'entendis une voix forte qui venait du temple, et qui disait aux sept anges : Allez, et versez sur la terre les sept coupes de la colère de Dieu."
Apocalypse de Jean
vendredi 5 avril 2019
Naissance au Ciel du père Jean Boboc 04/04/2019 - Mémoire éternelle !
La naissance au Ciel du père Jean Boboc est une grande perte (doux
euphémisme) pour nous qui restons ici à l'état anti-naturel dans ce
monde déchu. L’œuvre de ce théologien, sans équivalent dans le monde
catholique (et encore moins évidemment chez les protestants) est d'une
profondeur et d'une qualité rare.
Jean Boboc est notamment le traducteur d'une partie de l’œuvre de l'immense théologien Dumitru Staniloae. Spécialiste de ce que nos propagandistes modernes nomment "bioéthique", le père Jean a parfaitement compris l'époque que nous vivons qui est "Le temps du suicide anthropologique", de l’éclipse de l'esprit et finalement de la mort de l'homme qui marquent la faillite définitive de la funeste anthropologie dualiste occidentale.
Mais il ne s'est pas contenté de décrire ou d'accuser il a proposé des solutions ou LA solution à travers son onto-théo-anthropologie orthodoxe révélée (forcément ternaire et seule permettant la déification de la nature de l'homme par la pneumatisation de tout son être).
"La grande métamorphose. éléments pour une théo-anthropologie orthodoxe", livre tiré de sa thèse de doctorat en théologie est, à l'évidence, la pierre d'angle de son œuvre.
Jean Boboc est notamment le traducteur d'une partie de l’œuvre de l'immense théologien Dumitru Staniloae. Spécialiste de ce que nos propagandistes modernes nomment "bioéthique", le père Jean a parfaitement compris l'époque que nous vivons qui est "Le temps du suicide anthropologique", de l’éclipse de l'esprit et finalement de la mort de l'homme qui marquent la faillite définitive de la funeste anthropologie dualiste occidentale.
Mais il ne s'est pas contenté de décrire ou d'accuser il a proposé des solutions ou LA solution à travers son onto-théo-anthropologie orthodoxe révélée (forcément ternaire et seule permettant la déification de la nature de l'homme par la pneumatisation de tout son être).
"La grande métamorphose. éléments pour une théo-anthropologie orthodoxe", livre tiré de sa thèse de doctorat en théologie est, à l'évidence, la pierre d'angle de son œuvre.
dimanche 24 février 2019
Christianisme et authentique subversion : remarques...
Mettre en avant la fonction protestataire du christianisme qui n'est pas
une religion d'esclaves (comme l'affirme Nietzsche) mais précisément le
contraire puisque le christianisme conduit nécessairement à briser les
chaînes de toutes les aliénations (en cela le calvinisme est adversaire
parfait du christianisme) c'est très bien. C'est intéressant mais cette
lecture matérialiste des évangiles en appauvrit considérablement le
sens. Elle aboutit à une anthropologie d'une pauvreté
absolue, et c'est finalement celle qui nous poursuit depuis le XIIIe
siècle. Une anthropologie qui nie l'esprit en niant l'Esprit, parce
qu'elle nie Dieu tout simplement. Elle valorise l'homme
psychique...C'est ne rien comprendre au sens de l'Incarnation christique
et au "mécanisme" de l'authentique rédemption ("Dieu s'est fait homme
pour que l'homme devienne Dieu")...et réduire le Christ à un Che Guevara
de qualité (morale) supérieure...Négation de l'homme total,
impossibilité pour l'homme d'accéder à la déification par la
pneumatisation de tout son être corps-âme-esprit, seule voie de Salut.
Qui plus est, voir dans les conciles une simple "institutionnalisation" du christianisme c'est passer à côté de la fonction régulatrice, épuratrice de ceux-ci. En écrasant les hérésies christologiques, les premiers conciles réaffirment bien au contraire le sens de l'Incarnation et le caractère subversif du christianisme. Le chrétien n'obéit qu'à Dieu (ni au roi ni à l'empereur - Quelle est la part de Constantin dans l’édification des doctrines ?), au Christ à deux natures non séparées et distinctes et non pas à un "Christ-homme".
La question de l'obéissance est même H.S. car le chrétien vise l'Union à Dieu pas l’imitation par génuflexion. Enfin cette "institutionnalisation" ne sépare en rien l'homme du cosmos puisque la liturgie (instituée), avec ses codes, elle-même est liturgie cosmique, elle abolit toutes la catégories du temps et de l'espace et réconcilie l'homme avec la Création, et l'aide à retrouver sa véritable condition ; notre état en ce monde étant anti-naturel.
Bref, une telle lecture plaisante pour la psyché n'en reste pas moins une poésie vitaliste anti-théologique (le logos est bien autre chose que le logos grec) qui dit "oui à la vie" sans trop envisager le sens vrai de cette existence humaine.
Commentaires inspirés par Engels et...Cousin :
Contributions à l'Histoire du Christianisme primitif Friedrich Engels (1894)
Qui plus est, voir dans les conciles une simple "institutionnalisation" du christianisme c'est passer à côté de la fonction régulatrice, épuratrice de ceux-ci. En écrasant les hérésies christologiques, les premiers conciles réaffirment bien au contraire le sens de l'Incarnation et le caractère subversif du christianisme. Le chrétien n'obéit qu'à Dieu (ni au roi ni à l'empereur - Quelle est la part de Constantin dans l’édification des doctrines ?), au Christ à deux natures non séparées et distinctes et non pas à un "Christ-homme".
La question de l'obéissance est même H.S. car le chrétien vise l'Union à Dieu pas l’imitation par génuflexion. Enfin cette "institutionnalisation" ne sépare en rien l'homme du cosmos puisque la liturgie (instituée), avec ses codes, elle-même est liturgie cosmique, elle abolit toutes la catégories du temps et de l'espace et réconcilie l'homme avec la Création, et l'aide à retrouver sa véritable condition ; notre état en ce monde étant anti-naturel.
Bref, une telle lecture plaisante pour la psyché n'en reste pas moins une poésie vitaliste anti-théologique (le logos est bien autre chose que le logos grec) qui dit "oui à la vie" sans trop envisager le sens vrai de cette existence humaine.
Commentaires inspirés par Engels et...Cousin :
Contributions à l'Histoire du Christianisme primitif Friedrich Engels (1894)
jeudi 17 janvier 2019
Père François Brune (1931-2019) - Mémoire éternelle !
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vendredi 23 novembre 2018
Les gilets jaunes et la communauté de l'être
Les gilets jaunes c'est le réveil en catastrophe des vieilles
communautés primordiales européennes enracinées, du solidarisme
anti-légalisme, du socialisme chouanant (et non pas chouinant, plaintif,
geignard).
L'OEUVRE DE MIRCEA ELIADE : ENTRE NOSTALGIE DES ORIGINES ET VOIE POUR L'INSURRECTION DE L'ÊTRE CONTRE L'HYPERMODERNITÉ
L'OEUVRE DE MIRCEA ELIADE : ENTRE NOSTALGIE DES ORIGINES ET VOIE POUR L'INSURRECTION DE L'ÊTRE CONTRE L'HYPERMODERNITÉ
samedi 17 novembre 2018
La perte de l'esprit dans le christianisme occidental
Il y a eu, durant des siècles, une lutte au sein du christianisme occidental entre deux visions anthropologiques, (dualiste/ternaire), avant que la première ne l'emporte sur la seconde, avec les conséquences désastreuses que l'on connaît (idéologies matérialistes athées), tuant toute vie spirituelle (éclipse de l'esprit et de l'Esprit saint). L'Occident est d'ailleurs, sans doute, mort de cela...Chronologiquement, on ne peut pas dire qu'il y a eu d’abord une "mort de Dieu", puis une "mort de l'homme" puisque que cette négation de l'esprit (anthropologie dualiste) est négation de l'Esprit donc du Dieu trine. Dieu est mort en même temps que l'homme, puisque la négation de l'esprit nie la possibilité pour l'homme d'avoir une vie spirituelle (seule réellement accessible dans le cadre de cette anthropologie tripartite corps-âme-esprit) et de permettre son achèvement : passage de l'homme psychique à l'homme spirituel (déification/theosis/divinisation), de devenir réellement et totalement une personne divino-humaine. En Occident, seul(e)s certain(e)s mystiques témoignent -échappant comme par...miracle à ce fatum- de cette possibilité d’accomplissement (homme total divinisé).
N.B. sur la perte de l'esprit à partir du XIIIe siècle - dualisme mortifère contre théo-anthropologie ternaire révélée (Fromaget, Boboc). L'involution spirituelle (à partir) du XIIIe siècle évidemment jamais enseignée nulle part, puisque les matérialistes (nos pseudo-maîtres) sont dualistes.
On peut comprendre la cassure catastrophique sur le plan spirituel en Occident, simplement en comparant l'art roman à l'art gothique (sans jugement de valeur sur les qualités esthétiques de ces arts).
Voir l'ouvrage de Michel Fromaget "Corps-âme-esprit. Introduction à l'anthropologie ternaire", éd. Almora et Jean Boboc "La grande métamorphose. Éléments pour une théo-anthropologie orthodoxe" , éd. Cerf
samedi 29 septembre 2018
Immaculée conception - position chrétienne orthodoxe (examen rapide)
Au
sujet de l’Immaculée Conception. Faut-il évoquer "Lourdes" ?
Peut-être. Car une appréhension honnête de l'événement (en admettant que
l'épisode soit véridique) mettrait fin à tout débat. L'expression
"Immaculée conception" outre son aberration syntaxique, ne concernerait
en réalité que le Christ (oui, le dogme latin de l’immaculée concerne la
Vierge et sainte Mère de Dieu mais nous supposons, nous, que non…). La Théotokos prononce la fameuse
phrase le 25 mars...La Théotoque exprimerait par-là que c'est la conception du Christ
qui est immaculée. ça semble réglé.
Ensuite,
l'expression est aussi aberration ontologique, Marie est créée (donc par les
voies naturelles propres au monde déchu), elle subit donc les conséquences du
péché originel (mais n’est pas, comme tous les hommes, responsable de ce péché,
contrairement à ce qu’affirment les dits "catholiques") aussi la
Mère de Dieu sort de la chaîne des conséquences alors elle n'est plus humaine,
elle n'appartient plus au genre humain, l'Incarnation n'a plus aucun sens. Elle
devient égale à Dieu et l'homme ne peut devenir Dieu à son tour puisque face à
une dichotomie absolue : les dieux d'un côté, les hommes de l'autre. Tout
l'édifice du christianisme authentique s'effondre. Dieu ne s'est pas fait homme
réellement (il est alors pleinement Dieu/Esprit) et l'homme ne peut plus
devenir Dieu à son tour. C'est une hérésie absolue qui mène au désespoir. .
Sa
lutte contre le péché (et son absence chez elle) est bien le fait de sa
coopération avec Dieu contre le Mauvais. Elle reçoit bien une
« grâce » (Marie pleine de grâce). Le problème est le moment où cette
grâce se manifeste en elle. A l'Annonciation ou avant, cela change tout. Si
elle est dotée de la "grâce originelle" comme l’affirme les
scolastiques germano-(franco)-latins (dits romains) le Credo tombe à plat.
Dieu ne peut s'être fait homme, l’acte d’humilité suprême de Dieu qui s’incarne
dans la chair n’en est plus un, puisque Marie n’est pas pleinement femme mais
quelque chose comme une demi-déesse avec des dons préternaturels...
De
même l'épisode de la dormition de Marie perd son sens. Si elle a en elle cette "grâce
originelle" dès sa conception alors elle ne peut mourir comme les hommes.
Pour
autant, aucun orthodoxe ne dit que le corps de Marie a connu la corruption,
mais seulement qu'elle est morte comme tous les hommes. Ses organes vitaux ont
cessé de fonctionner. Seulement ce n'est pas cette grâce originelle (la grâce « scolastique » ?)
qui empêche cette corruption. L'action de Dieu en son être a lieu pleinement
après l'Annonciation. Marie n’est pas l’Immaculée conception à la manière
dont l’affirment les Germano-latins.
samedi 25 août 2018
L’EGLISE ORTHODOXE ROUMAINE EN EUROPE OCCIDENTALE : TERRITOIRES ET « DIASPORA »
L’EGLISE ORTHODOXE ROUMAINE EN EUROPE OCCIDENTALE : TERRITOIRES ET « DIASPORA »
THE ROMANIAN ORTHODOX CHURCH IN WESTERN EUROPE: TERRITORIES AND "DIASPORA"
https://www.ceeol.com/search/article-detail?id=600323
Author(s): JEAN-MICHEL LEMONNIER
Subject(s): Language and Literature Studies
Published by: Universitatea »1 Decembrie 1918« Alba Iulia
Keywords: Orthodox Christianity; diaspora; Romania; France; Romanian Orthodox church; Occidental Orthodoxy
Subject(s): Language and Literature Studies
Published by: Universitatea »1 Decembrie 1918« Alba Iulia
Keywords: Orthodox Christianity; diaspora; Romania; France; Romanian Orthodox church; Occidental Orthodoxy
Summary/Abstract:
In this article, we present exploratory elements concerning the
Romanian Orthodox Church « outside the borders » by assuming its
territorial adaptations as well as a nascent « diaspora ». We explain
how this Church organizes itself in Western Europe and particularly in
France and how it adapts its structures in this context. We present the
situation of ecclesiastical multi-jurisdiction and the issues it raises
while examining the conditions of existence of the Romanian Orthodox
population in western Europe. In order to do so, we must address the
questions of ethno-phyletism or nationalism which irrigate the behavior
of the Romanian Orthodox Church outside the borders but also the
provisional solutions to remedy this situation. The situation of the
Romanian Orthodox Church in France is illuminated. First of all, we
retrace a brief history of the Romanian presence in France since the
nineteenth century, originally almost exclusively Parisian, while
exposing the major stages of the implantation of the Orthodox Church. We
highlight the dilemmas faced by the Romanian Orthodox Church and its«
diaspora » but also the dynamics committed within this« Orthodox
community » to be territorially and socially integrated in France. In
the same time, We question the relevance of the use, in this context, of
certain notions such as « diaspora ». Finally, we describe the
follow-up to this presentation by formulating working hypotheses for the
study of the Romanian Orthodox communities at a local level and the
results that we can expect.
géographie,article scientifique,Eglise orthodoxe roumaine,orthodoxie occidentale,espaces religieux,Christianisme orthodoxe,France,actualité de la recherche,géographie du fait religieux,ethnophylétisme
- Issue Year: 18/2017
- Issue No: 1
- Page Range: 365-390
- Page Count: 26
- Language: French
lundi 21 mai 2018
Aristote, Averroès, st Thomas d'Aquin : une catastrophe pour le christianisme germano-latin occidental
La découverte d'Aristote par Thomas d'Aquin via Averroès : une catastrophe pour l'Occident chrétien.
Alors que des théologiens mystiques chrétiens occidentaux avaient réussi, bon gré mal gré, à contenir le poison augustinien, l'assaut contre la foi des Pères, autrement dit le christianisme authentique, a été donné par Thomas d'Aquin fasciné par Aristote (et son dieu païen). Funeste destin pour le christianisme latin que n'a heureusement pas connu le christianisme (grec) orthodoxe (malgré le succès, ici et là, des tentatives de latinisation dans le monde orthodoxe). C'eut été sinon la mort définitive du christianisme...
Alors que des théologiens mystiques chrétiens occidentaux avaient réussi, bon gré mal gré, à contenir le poison augustinien, l'assaut contre la foi des Pères, autrement dit le christianisme authentique, a été donné par Thomas d'Aquin fasciné par Aristote (et son dieu païen). Funeste destin pour le christianisme latin que n'a heureusement pas connu le christianisme (grec) orthodoxe (malgré le succès, ici et là, des tentatives de latinisation dans le monde orthodoxe). C'eut été sinon la mort définitive du christianisme...
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